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Unser Land a officiellement lancé la campagne des élections régionales et départementales (CeA) le vendredi 19 mars. Unser Land s’engage dans ces élections pour non pas simplement obtenir des « compétences » bien trop souvent limitées, mais pour avoir le droit de décider de soutenir notre société alsacienne avec un budget et des marges de manœuvre législatives.
Notre mouvement a choisi Martin MEYER comme tête de liste aux élections régionales. Il mènera la liste Unser Land intitulée « Stop Grand Est, en avant l’Alsace ! », la seule liste qui proposera sans ambigüités de se libérer de la tutelle du Grand Est. Il défendra une évolution des institutions permettant à l’Alsace de prendre sans intermédiaire inutile les décisions propres à bâtir un avenir prospère.
Martin Meyer, né en 1967, a passé sa jeunesse en Alsace Bossue. Il est diplômé de l’ESSTIN (de nos jours Polytech Nancy). Il habite aujourd’hui dans la région de Barr. Chef d’entreprise dans l’industrie, père de famille, il incarnera le bon sens et la foi en l’Alsace face aux représentants des partis parisiens.
Engagé dans le bilinguisme scolaire depuis plusieurs décennies, il a franchi le cap de l’engagement politique en 2014 lors de la réforme territoriale qui a vu la disparition de la Région Alsace. Candidat aux élections départementales de mars 2015 dans le canton d’Obernai (18%), il a été aux législatives de 2017 le suppléant de Gérard Simler, qui comme vous vous en souvenez a manqué de peu de devenir le premier député Unser Land à l’Assemblée.
Secrétaire Général de notre mouvement depuis 2017, Martin Meyer démontre qu’Unser Land a été en mesure de faire émerger des figures nouvelles au fil des années. Toute la direction du parti le remercie chaleureusement de son engagement pour les scrutins de 2021 et se range derrière lui pour faire de cette campagne – dont il sera la figure de proue – un succès pour Unser Land et pour l’Alsace !
Retrouvez ici la conférence de presse de notre tête de liste aux élections régionales, « STOP GRAND EST, EN AVANT L’ALSACE ! », Martin Meyer :
Un projet d’avenir n’est pas fait de pierres, de béton et de subventions. Martin MEYER et tous les membres de la liste STOP GRAND EST, EN AVANT L’ALSACE / ELSASS GEH VORAN! proposent un vrai projet de société afin de répondre aux attentes et besoins des Alsaciens et pouvoir relever les défis économiques, sociaux et cultures qui nous sont posés.
Pourquoi retourner aux élections régionales, pourquoi se présenter à la CeA ?
Warum zu den Regionalwahlen zurückkehren, warum für die CeA antreten?
Avec le Grand Est, nous sommes dans une impasse et vous proposons un changement de paradigme radical pour retrouver notre Alsace et aller de l’avant/Elsass geh voran.
Notre avenir linguistique a besoin d' une politique volontariste forte pour réintroduire l’alsacien auprès des jeunes enfants : crèches immersives, périscolaire, enseignement… Si nous, Alsaciens, voulons que notre langue vive, il n'y a plus à tergiverser mais à prendre des mesures drastiques pour sa survie et sa promotion à l'école, dans le monde culturel, dans les médias ! L'alsacien doit reconquérir l'Alsace ! Mr müen d'Elsassisch Sproch i d'Effentlichkeit brìnga ùn sie ùnsera Kìnder dùrich de Ùnterrìcht weder ewertràje.
Notre projet est celui d’une véritable renaissance alsacienne, afin que notre Heimat puisse faire pleinement valoir ses atouts (naturels, culturels, transfrontaliers…) et retrouver sa fierté (drapeau rot un wiss...). Notre projet est celui de proposer un avenir à notre jeunesse, de maintenir un système de santé viable et de redonner vie à des territoires quasi-abandonnés.
Nous avons un cap et savons où nous voulons aller. Si vous vous reconnaissez dans notre projet, alors nous comptons sur votre soutien. Car il y a urgence. Dans six ans, sans une action déterminée et volontaire, que restera-t-il de notre Alsace, de nos droits, de nos atouts et de nos valeurs ?
Vous le savez, grâce à la pression exercée depuis 2014 par Unser Land, tous ses membres et les nombreux Alsaciens qui nous ont accordé leur suffrage, l’Alsace a retrouvé une existence institutionnelle avec la création de la Collectivité Européenne d’Alsace (CeA) en 2021. Sans nous, sans vous, même ce résultat n’aurait pas pu être obtenu. Toutefois, le combat est loin d’être terminé : notre Alsace est toujours engluée dans le « Grand Est », tandis la CeA n’est guère qu’un département amélioré… et flanqué d’un bretzel bleu-blanc-rouge en guise de logo. La CeA est vue à Paris comme un lot de consolation suite à la création du Grand Est, afin de figer la situation existante et d’endormir les Alsaciens.
Comme en 2015, seul Unser Land pourra faire avancer la situation et donner un avenir véritable à l’Alsace :
C’est pourquoi Unser Land a décidé de se présenter lors des deux scrutins de juin 2021 :
Seuls des élus Unser Land, indépendants des pressions de Paris, seront à même de défendre des positions fortes pour l’Alsace dans les assemblées régionales.
Oui, le bon échelon c’est l’Alsace ! Ja, die richtige Ebene ist das Elsass!En avant l’Alsace / Elsass Geh Voran !
Pour donner à la campagne la dynamique nécessaire, nous avons besoin de vous !
Comment nous aider ? Wie können Sie uns helfen?
Les derniers interviews de Martin Meyer, tête de liste aux régionales de la liste "Stop Grand Est, en avant l'Alsace !"
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Les interviews de Martin Meyer
Ce mercredi 12 mai, la liste Unser Land "Stop Grand Est, en avant l'Alsace !" a été déposée à la Préfecture de région à Strasbourg. Le mouvement alsacien confirme ainsi sa dynamique et la force de son engagement.
Si la région Grand Est est rejetée par les deux tiers de ses habitants (jusqu’à 84% des Alsaciens – sondage CSA d’avril 2017), depuis 2015, c’est l’Alsace qui mène la contestation contre cette région absurde. En effet, à la différence de la Lorraine et de Champagne-Ardenne, dont la vie politique est calquée sur le modèle français, l’Alsace bénéficie d’un mouvement régionaliste fort. « Nous prenons nos responsabilités et assumons pleinement ce rôle de leader. Notre liste, composée en grande partie d’Alsaciens, portera la voix du peuple alsacien mais également de ceux qui souhaitent la renaissance des régions Lorraine et Champagne-Ardenne » affirme Martin Meyer, la tête de liste régionale.
« Alors que les listes Rottner et Klinkert sont composées de notables qui ont trahi l’Alsace ou s’apprêtent à le faire, je suis fier de conduire une liste citoyenne représentative de la société alsacienne, avec des candidats de tous âges et de toutes conditions mais qui partagent en commun l’engagement pour l’Alsace et le désintéressement», poursuit Martin Meyer. Le message porté par Unser Land est clair : sortir du Grand Est et transformer la CEA en collectivité à statut particulier.
La section « Collectivité européenne d’Alsace » sera conduite par Jean-Georges Trouillet, président d’Unser Land et tête de liste aux élections régionales de 2015. Marie-Christine Huber, médecin et vice-présidente du Mouvement pour l’Alsace, figure en seconde position. On notera la présence de nombreux élus municipaux - dont les anciens maires d’Ingersheim (Gérard Cronenberger) et de Schweighouse-sur-Moder (Marcel Schmitt), de militants du bilinguisme (Thierry Kranzer, Jean-Marie Lorber, Christine Stephan...). La section Moselle de la liste sera conduite par Denis Lieb, ancien conseiller général de Sarre-Union, qui vit entre la Moselle et l’Alsace Bossue.
Les têtes de liste :
« 2015 a marqué une rupture en Alsace : la vie politique se divise désormais en deux camps : d’un côté une caste au service des partis parisiens et prête à toutes les compromissions, de l’autre des citoyens en quête d’une démocratie enracinée dans le monde réel. Nous sommes la voix de ces derniers. » observe Jean-Georges Trouillet.
« Je comprends le désarroi des électeurs lorsqu’ils assistent aux retournements de vestes de M. Rottner et de Mme Klinkert ou lorsque le candidat du Rassemblement National, parachuté de Paris, se travestit en régionaliste. Ce cynisme est un poison pour la démocratie. Il faut redonner un sens à la parole donnée et une place aux valeurs. La démocratie ne doit pas être un numéro d’acteur mais un choix d’idées » conclut Martin Meyer.